Article In:
La Référence Floue
Edited by Laure Gardelle and Frédéric Landragin
[Lingvisticæ Investigationes 47:2] 2024
► pp. 247269
References (51)
Références
Abeillé, A. & Godard, D. (éds) (2021). La Grande Grammaire du français. Arles: Actes Sud.Google Scholar
Adam, J.-M. (1977). Ordre du texte, Ordre du discours. Pratiques, 13 (1). DOI logoGoogle Scholar
Allaire, S. (2001). La voix en question : L’Innommable de Beckett. Cahiers de Narratologie. Analyse et théorie narratives, 10 . 1 . DOI logoGoogle Scholar
Apothéloz, D. (2010). L’opacité référentielle : paramètres et statuts discursifs. In M. Colas-Blaise et al. (éds), La question polyphonique ou dialogique en sciences du langage, 135–155. CELTED, Université de Metz.Google Scholar
Ariel, M. (1988). Referring and accessibility. Journal of Linguistics, 24 (1). DOI logoGoogle Scholar
Asher, N. (1996). L’interface pragmatique-sémantique et l’interprétation du discours. Langages, 1231, 30–50. DOI logoGoogle Scholar
Bajomée, D. (1969). Lumière, ténèbres et chaos dans L’Innommable de Samuel Beckett. Les Lettres Romanes, 21 (2), 139–158. DOI logoGoogle Scholar
Beckett, S. (2004). L’Innommable. Paris: Les Éditions de Minuit.Google Scholar
Bizoub, E. (2012). Beckett et Descartes dans l’œuf. Aux sources de l’œuvre beckettienne : de Whoroscope à Godot. Classiques Garnier. DOI logoGoogle Scholar
Blanchot, M. (1959). Le livre à venir. Paris: Gallimard.Google Scholar
Boch, F. & Rinck, F. (2015). Anaphores démonstratives dans les écrits d’étudiants de Master : comparaison avec les pratiques expertes. Linx, 721. DOI logoGoogle Scholar
Charolles, M. (2002). La référence et les expressions référentielles en français. Paris/Gap: Éditions Ophrys.Google Scholar
Chaudier, S. (2008). L’Innommable de Samuel Beckett ou les ruines sont une fête. In J. Faerber (éd.), Le Nouveau Roman en questions (6), Vers une écriture des ruines, 69–90. Paris/Caen: Lettres modernes Minard.Google Scholar
CNRTL. (2005). Centre National de Ressources Textuelles et Lexicales. UMR ATILF (CNRS — Nancy Université). [URL]
Corblin, F. (1995). Les formes de reprise dans le discours. Anaphores et chaînes de référence. Rennes: Presses Universitaires de Rennes.Google Scholar
Cornish, F. (1995). Référence anaphorique, référence déictique et contexte prédicatif et énonciatif. Sémiotiques, 81, 31–55.Google Scholar
(2009). Le rôle des anaphores dans la mise en place des relations de cohérence dans le discours : l’hypothèse de J.R. Hobbs. Journal of French Language Studies, 19 (2), 159–181. DOI logoGoogle Scholar
(2015). Procédures référentielles indexicales, relations rhétoriques et structuration du discours. Discours, 171. DOI logoGoogle Scholar
Couissin, P. (1929). L’origine et révolution de l’ἐποχή. Revue des Études Grecques, 42 (198), 373–397. DOI logoGoogle Scholar
Del Lungo, A. (2015). L’Incipit romanesque. Média Diffusion.Google Scholar
Delaborde, M. (2021). La coréférence floue dans les chaînes du corpus DEMOCRAT. Langages, 2241, 47–65. DOI logoGoogle Scholar
Delaborde, M. & Landragin, F. (2019). En quoi le pronom on a-t-il une valeur anaphorique ? Cahiers de praxématique, 72 1. DOI logoGoogle Scholar
Delbart, A.-R. (2005). Les exilés du langage : un siècle d’écrivains français venus d’ailleurs (1919–2000). Limoges: Presses Universitaires de Limoges.Google Scholar
Delbart, A.-R., & Wilmet, M. (2006). La phrase chez Beckett. Revue belge de Philologie et d’Histoire, 84 (3), 903–912. DOI logoGoogle Scholar
D’Ockham, G. (1323[2003]). Summa logicae. Mauvezin: T.E.R. Éditions.Google Scholar
Ducrot, O. & Todorov, T. (1972). Dictionnaire encyclopédique des sciences du langage. Paris: Éditions du Seuil.Google Scholar
Eco, U. (1989). Lector in fabula. Paris: Le livre de poche.Google Scholar
Galmiche, M. (1983). Les ambiguïtés référentielles ou les pièges de la référence. Langue française, 571. DOI logoGoogle Scholar
Gardelle, L., Rossi, C. & Vincent-Durroux, L. (2019). La gestion de l’anaphore en discours : complexités et enjeux. Cahiers de praxématique, 721. DOI logoGoogle Scholar
Grosz, B. J., Joshi, A. K. & Weinstein, S. (1995). Centering: A Framework for Modeling the Local Coherence of Discourse. Computational Linguistics, 21 (2), 203–225.Google Scholar
Houdart-Merot, V. (2006). L’intertextualité comme clé d’écriture littéraire. Le français aujourd’hui, 153 (2), 25–32. DOI logoGoogle Scholar
Kleiber, G. (1991). Anaphore-deixis : où en sommes-nous ? L’information grammaticale, 511, 3–18. DOI logoGoogle Scholar
(1997). Sens, référence et existence : que faire de l’extra-linguistique ? Langages, 1271, 9–37. DOI logoGoogle Scholar
Landragin, F. (2011). Une procédure d’analyse et d’annotation des chaînes de coréférence dans des textes écrits. Corpus, 101. DOI logoGoogle Scholar
(2018). Étude de la référence et de la coréférence : rôle des petits corpus et observations à partir du corpus MC4. Corpus, 181. DOI logoGoogle Scholar
Landragin, F. & Tanguy, N. (2014). Référence et coréférence du pronom indéfini on. Langages, 1951, 99–115. DOI logoGoogle Scholar
Maillard, M. (1974). Essai de typologie des substituts diaphoriques. Langue française, 21 1, 55–71. DOI logoGoogle Scholar
Maingueneau, D. (2020). La perspective pragmatique. In D. Mangueneau, Manuel de linguistique pour les textes littéraires, 17–35. Paris: Armand Colin.Google Scholar
Marandin, J.-M. (1986). Ce est un autre. L’interprétation anaphorique du syntagme démonstratif. Langages, 811, 75–89. DOI logoGoogle Scholar
Pallanti, L. (2012). Le dialogisme dans L’Innommable de Samuel Beckett [Mémoire de recherche de Master]. Université Paris 3 — Sorbonne Nouvelle. [URL]
(2021). Travailler les compétences rédactionnelles à l’ÉNEPS. Conception et mise en œuvre d’un système didactique expérimental. [Thèse de doctorat, Univ. Grenoble Alpes]. [URL]
Pallanti, L., Jacques, M.-P. & Brissaud, C. (2021). Travailler l’écrit pour favoriser la réussite des étudiants issus de bacs professionnels : Un enjeu de linguistique appliquée. Éla, 2021. DOI logoGoogle Scholar
Panaccio, C. (2020). Le nominalisme d’Ockham. Laval théologique et philosophique, 76 (2), 185–196. DOI logoGoogle Scholar
Perrin, C., Masseron, C. & Auricchio, A. (1995). L’anaphore démonstrative à fonction résomptive. Pratiques, 851, 27–52. DOI logoGoogle Scholar
Rastier, F. (1997). Défigements sémantiques en contexte. In M. Martins-Baltar (éd.), La locution, entre langues et usages, 305–329. ENS Éditions Fontenay / Saint Cloud. DOI logoGoogle Scholar
(2006). Formes sémantiques et textualité. Langages, 1631, 99–114.Google Scholar
(2011). La mesure et le grain. Paris: H. Champion.Google Scholar
Ricœur, P. (1972). La métaphore et le problème central de l’herméneutique. Revue Philosophique de Louvain, 70 (5), 93–112. DOI logoGoogle Scholar
Sardin-Damestoy, P. (2002). Dérive, délire et déliaison. In P. Sardin-Damestoy, Samuel Beckett auto-traducteur ou l’art de l’« empêchement », 189–215. Arras: Artois Presses Université. DOI logoGoogle Scholar
Schnedecker, C. (2021). Les chaînes de référence en français. Paris/Gap: Ophrys.Google Scholar
Vultur, I. (2015). Présentation. Critique, 817–8181, 451–452. DOI logoGoogle Scholar