Article In:
La Référence Floue
Edited by Laure Gardelle and Frédéric Landragin
[Lingvisticæ Investigationes 47:2] 2024
► pp. 223246
References (46)
Bibliographie
Bandura, A. (2003). Auto-efficacité. Le sentiment d’efficacité personnelle, Paris/Bruxelles: De Boeck.Google Scholar
Blanche-Benveniste, C. (1987). Le pronom on : propositions pour une analyse. In J.-C. Chevalier et al. (dir.), Les Cahiers de Fontenay, 46–48, Mélanges offerts à Maurice Molho, 15–30. Fontenay-aux-Roses: ENS.Google Scholar
(2003). Le double jeu du pronom ON. In P. Hadermann et al. (dir.), La syntaxe raisonnée, Mélanges de linguistique générale et française offerts à Annie Boone à l’occasion de son 60e anniversaire, 43–56. Louvain-la-Neuve: De Boeck/Duculot.Google Scholar
Blasco, M. & Cappeau, P. (2020). Ce que la syntaxe nous apprend : l’exemple du pronom on dans un corpus de consultations à l’hôpital », Actes du 7e Congrès Mondial de Linguistique Française, juillet 2020, Montpellier, en ligne. DOI logoGoogle Scholar
Bulea, E. & Fristalon, I. (2004). Agir, agentivité et temporalité dans des entretiens sur le travail infirmier. In J.-P. Bronckart et al. (dir.), Cahiers de la section des sciences de l’éducation, 1031, 213–262.Google Scholar
Carlier, A. (1996). Les gosses ça se lève tôt le matin : l’interprétation générique du syntagme nominal disloqué au moyen de ce ou ça . Journal of French Language Studies, 6/21, 133–162. DOI logoGoogle Scholar
Carvalho, P. de. (2007). Le Nom et le Nombre. Entre grammaire cognitive et psychomécanique du langage. CogniTextes, 11, en ligne, DOI logoGoogle Scholar
Cassin, B. (éd.) (2004). Vocabulaire européen des philosophies. Le dictionnaire des intraduisibles. Paris: Seuil/Le Robert.Google Scholar
Chatar-Moumni, N., Lachet, C. & Roig, A. (2023). Agentivité à l’AP-HP au début de la pandémie de covid-19 : des soignants témoins et acteurs. Langue française, 2201, 79–101. DOI logoGoogle Scholar
Decaux, É. (1975). Genre et archigenre, cas et archicas (sur l’exemple du polonais). In Mélanges linguistiques offerts à Émile Benveniste, 99–106. Louvain: Peeters.Google Scholar
Dubois, J. & Dubois-Charlier, F. (2008). Le nombre en français. Fernelmont: EME.Google Scholar
Duranti, A. (2006). Agency in language. In A. Duranti (ed.), A companion to linguistic anthropology, 451–473. Malden, MA: Blackwell.Google Scholar
Fløttum, K., Jonasson, K. & Norén, C. (2007). ON. Pronom à facettes Bruxelles: De Boeck Supérieur. DOI logoGoogle Scholar
Gauchola, R. (2015). Les phénomènes de scalarité dans l’expression de l’agentivité en français et en espagnol. Synergies Espagne, 81, 17–31.Google Scholar
GGHF (2020). cf. Marchello-Nizia, C. et al. (2020).Google Scholar
Grevisse, M. & Goosse, A. (2016). Le Bon usage (16e éd). Bruxelles: De Boeck.Google Scholar
Hamelin, L. (2018). Éléments pour une sémantique de ON. 6e CMLF , juillet 2018, Mons, SHS Web of conferences, 46.
Jackendoff, R. S. (1969). Les constructions possessives en anglais. Langages, 141, 7–27. DOI logoGoogle Scholar
Jacquin, J. (2017). Le pronom ON dans l’interaction en face à face : une ressource de (dé)contextualisation. Langue française, 1931, 77–92. DOI logoGoogle Scholar
Kleiber, G. (1989). Le générique, un massif ? Langages, 941, 73–113. DOI logoGoogle Scholar
(1990). L’article LE générique : la généricité sur le mode massif. Genève: Droz.Google Scholar
(1998). Des cerisiers, ça fleurit au printemps : une construction bien énigmatique. In E. Werner et al. (dir.), Et multum et multa, Festschrift für Peter Wunderli, 95–112. Tübingen: Narr.Google Scholar
Lammert, M. (2014). Référence collective massive vs référence plurielle indéfinie. Langue française, 1831, 87–99. DOI logoGoogle Scholar
Lammert, M. & Lecolle, M. (2014). Les noms collectifs en français, une vue d’ensemble. Cahiers de lexicologie, 105–21, 203–222.Google Scholar
(2023). Noms collectifs. Encyclopédie grammaticale du français, en ligne, [URL]
Landragin, F. & Tanguy, N. (2014). Référence et coréférence du pronom indéfini on . Langages, 1951, 99–115. DOI logoGoogle Scholar
Lazard, G. (1994). L’Actance. Paris: PUF.Google Scholar
Leeman, D. (1991). On thème. Lingvisticæ Investigationes, 15 (1), 101–113. DOI logoGoogle Scholar
Marchello-Nizia, C., Combettes, B., Prévost, S. & Scheer, T. (dir.) (2020). Grande Grammaire Historique du Français (GGHF). Berlin/Boston: de Gruyter. DOI logoGoogle Scholar
Morin, É., Therriault, G. & Bader, B. (2019). Le développement du pouvoir agir, l’agentivité et le sentiment d’efficacité personnelle des jeunes face aux problématiques sociales et environnementales : apports conceptuels pour un agir ensemble. Éducation et socialisation, 511, en ligne, DOI logoGoogle Scholar
Muller, C. (2019). Indéfinis et partitifs en français. Bordeaux: Presses universitaires de Bordeaux.Google Scholar
Müller Gjesdal, A. (2008). Étude sémantique du pronom ON dans une perspective textuelle et contextuelle, thèse de doctorat, Université de Bergen.Google Scholar
Narjoux, C. (2002). ON. QUI, ON ou des valeurs référentielles du pronom personnel indéfini dans Les Voyageurs de l’Impériale de Louis Aragon. L’information grammaticale, 921, 36–45. DOI logoGoogle Scholar
Neveu, F. (2004). Dictionnaire des sciences du langage. Paris: Armand Colin.Google Scholar
Nølke, H. (1983). Les adverbes paradigmatisants : fonction et analyse. Revue Romane numéro spécial 231, Copenhague: Akademisk Forlag.Google Scholar
Peeters, B. (2006). Nous on vous tu(e). La guerre (pacifique) des pronoms personnels. Zeitschrift für romanische Philologie, 122 (2), 201–220. DOI logoGoogle Scholar
Pelletier, F. J. (1975). Non-Singular Reference : Some Preliminaries. Philosophia, 5 (4), 451–465. DOI logoGoogle Scholar
Rabatel, A. (2001). La valeur de on pronom indéfini/pronom personnel dans les perceptions représentées. L’information grammaticale, 881, 28–32. DOI logoGoogle Scholar
Roig, A. (2013). Des N et du N sujets : des généricités toujours refusées ? Travaux de linguistique, 671, 61–89.Google Scholar
Salazar Orvig, A. (1994). Les jeux de l’indéfini. ON et VOUS dans des discours de patients hémiplégiques. Faits de langues : L’indéfini, 41, 221–228. DOI logoGoogle Scholar
Saunier, É. (1998). Du rapport entre places d’interlocution et positions énonciatives. L’exemple des emplois de on, et de la référence à l’allocutaire. Notes de travail, 12 p.Google Scholar
Sen Amartya, K. (1985). Well-Being, Agency and Freedom: The Dewey Lectures 1984. Journal of Philosophy, 82 (4), 169–221. DOI logoGoogle Scholar
Soltész, J. A. (1978). Nombre grammatical et système du nombre en français. Cahier de linguistique, 71, 89–135. DOI logoGoogle Scholar
Veecock, C. (2008). Sur le caractère primordial de l’agentivité dans les « périphrases passives » en se faire, se laisser, se voir + infinitif . Cahiers de l’AFLS, 14 (1), 5–23.Google Scholar
Vermote, T. & Lauwers, P. (2016). L’opposition [massif]-[comptable]. Encyclopédie grammaticale du français, en ligne, [URL]
Wilmet, M. (1997). Grammaire critique du français (1re éd.). Paris/Bruxelles: Hachette/Duculot.Google Scholar