Language Teaching in Translator Training
Abstract
In recent years there has been an increasing interest among translation scholars and practitioners alike in promoting translation professionalism and hence winning recognition for translation studies as an independent discipline. Many have convincingly and justly argued for the existence of a hardcore subject-matter knowledge for translation studies and have stressed the importance of this knowledge in the development of the students’ translational competence. Unfortunately, in this attempt, the importance of language competence and thus language training is unduly played down.
This article examines this issue by looking at translator training in Hong Kong. It
argues that the assumption of students L1 and L2 competence being adequate to study
translation immediately upon entering translation programs is unfounded and might be at
least partially responsible for students’ slow improvement in their translational compe-tence
throughout the program. Key issues for strengthening language training for transla-tion
students are also highlighted in this paper.
Résumé
Au cours des dernières années, il y a eu un intérêt accru parmi les professeurs de traduction et les traducteurs tendant à promouvoir le professionnalisme de la traduction, et donc obtenir la reconnaissance des études de traduction comme discipline indépendante. Avec conviction et raisonnablement, beaucoup ont présenté l’argument d’une connaissance approfondie dún domaine de base pour les études de traduction et ont souligné l’importance de cette connaissance dans le développement de la compétence traductionnelle des étudiants.
Malheureusement, lors de cette tentative, l’importance de la compétence linguistique, et donc de la formation linguistique est minimisée à mauvais escient.
Cet article examine cette question en étudiant la formation des traducteurs à Hong Kong. Son argument est que supposer une compétence suffisante des étudiants L1 et L2 pour étudier la traduction, dès leur entrée dans des programmes de traduction, n’est pas fondé et serait, au moins, partiellement responsable de la lenteur de leur progrès dans leur compétence translationnelle pendant leur programme dtudes.
Les questions essentielles destinées à renforcer la formation linguistique pour les étudiants en traduction sont aussi soulignées dans cet article.